Une « homonymie » parentale m’a fait confondre deux personnes injustement réduites à une seule.
En effet, l’auteur de l’article publié dans NAQD numéro 12 n’est pas celle que Daho Djerbal invoque pour justifier la mise à l’index de Khaled Satour.
Outre mes regrets, je présente mes excuses à tous les intéressés.
En revanche, une fois cette précision apportée et la distinction entre les identités rétablies, les faits attestant des méthodes de direction de la revue demeurent inchangés, même s’ils devaient être rapportés séparément :
1) l’utilisation d’un épisode de la vie privée d’un membre de la rédaction comme argument pour le soustraire à toute communication sur la vie de la revue.
2) Le recours à un chercheur attitré du think tank du régime, lui offrant l’ouverture du numéro 12 sur Dominations et dépendances, ce qui sera inclus ultérieurement dans la troisième partie.
Merci aux lecteurs de tenir compte de ces corrections.
- VIE ET MORT D’UN PROJET, NAQD SOURCE ET ENJEU DE POUVOIR.
- DEUXIÈME PARTIE, LES INTELLECTUELS EN COMΙTÉ (S).